Bienvenue au chalet de Paul, bar, tapas, brasserie, glaces, thés. Vous pouvez déguster des vins de qualités, des assiettes de fromages, des charcuteries, des salades, mais aussi des produits faits maison (tartes, terrines divers) Sur réservation, vous pouvez dès le matin prendre un petit déjeuner avec une vue exceptionnelle sur la vallée. Du Chalet de Paul, vous pouvez découvrir depuis notre terrasse la plus belle et la plus haute des trois cascades de Gimel, la queue de Cheval, d'une hauteur de 60m qui se jette dans le gouffre de l'inferno !



D'une capacité d'environ 100 personnes, le chalet de Paul peut être privatisé pour vos évènements, mariages, anniversaires, etc.....

Église paroissiale construite en 1486 sur ordre de l’évêque de Limoges. Bien que remaniée, on peut apprécier à l’extérieur son clocher-mur rectangulaire à 4 jours qui abrite les cloches. Cette église est placée sous le vocable de Saint Pardoux qui, selon la légende, était le fils d’un paysan creusois (VIIIe siècle). Un jour Pardoux, accompagné de ses amis bergers, décide d’allumer un feu près d’un vieux châtaignier creux. Hélas, l’arbre s’abat sur lui et Pardoux perd la vue. Il trouve alors consolation en Dieu et se retrouve par miracle avec le don de guérison. Un remarquable trésor est à découvrir dans la crypte de cette église.

Datée du XVème siècle, cette église a certainement été construite à l'emplacement d'une église antérieure dont il reste quelques éléments romans : chapiteaux, bénitiers, élément du Christ. Le style global de l'édifice reste cependant gothique. A l'intérieur se trouve une piéta du XVème siècle, particulièrement expressive et réaliste que complète une certaine noblesse des formes. Puis, se trouve également une châsse en cuivre, à médaillons émaillés du XIIIème siècle, qui pourrait contenir les reliques de Saint Laurent, le saint patron de la paroisse et de Sainte-Catherine. Le tabernacle à ailes doré du milieu du XVIIème siècle est également à découvrir.

Croix datée de 1559. Son relief est peu altéré bien que le Christ ait perdu sa jambe droite et que les quatre personnages principaux, dont Saint Laurent que l'on reconnait au gril qu'il porte, soient étêtés. Les dégradations qu'a subi cette croix sont attribuées par POULBIERE aux brigands de 1793. La sculpture en ronde bosse est encore bien nette. Côté face, le Christ couronné et nimbé et au revers, une Vierge à l'Enfant.

Fût formé par une colonne en granit constituée par quatre tambours reliés par des crampons de fer. La croix représente les sujets habituels : le Christ en croix avec la Vierge et Saint-Jean sur une face ; la Vierge portant l'Enfant sur l'autre face.

Daté du XVIIème siècle, ce retable pourrait provenir du château de Montaignac, selon certaines sources, ou du château de Maumont, selon d'autres. De fait, il a été amputé en largeur et en hauteur pour trouver place dans le chœur de l'église. Restauré dans les années 1950, il est en bois de noyer sculpté et doré. Dans la partie basse, quatre statues sont placées dans des corniches : St Jean l’Évangéliste, St Joseph, et deux évêques. Dans la partie médiane trône un Christ ressuscité. Les côtés, disposés en plans fuyants, sont ornés de deux statuettes de moines (St François d'Assise et St Antoine).